Avatar en 3D

de James Cameron

avec Sam Worthington,
Zoé Saldana,
Sigourney Weaver,...


L'histoire :

"Malgré sa paralysie, Jake Sully, un ancien marine immobilisé dans un fauteuil roulant, est resté un combattant au plus profond de son être. Il est recruté pour se rendre à des années-lumière de la Terre, sur Pandora, où de puissants groupes industriels exploitent un minerai rarissime destiné à résoudre la crise énergétique sur Terre. Parce que l'atmosphère de Pandora est toxique pour les humains, ceux-ci ont créé le Programme Avatar, qui permet à des " pilotes " humains de lier leur esprit à un avatar, un corps biologique commandé à distance, capable de survivre dans cette atmosphère létale. Ces avatars sont des hybrides créés génétiquement en croisant l'ADN humain avec celui des Na'vi, les autochtones de Pandora.
Sous sa forme d'avatar, Jake peut de nouveau marcher. On lui confie une mission d'infiltration auprès des Na'vi, devenus un obstacle trop conséquent à l'exploitation du précieux minerai. Mais tout va changer lorsque Neytiri, une très belle Na'vi, sauve la vie de Jake..."



Le film de l'année qui a provoqué et déchaîné tant de passions !

Certains voulant aller sur Pandora.

D'autres ont crié à l'histoire non innovante.

"Rien de neuf !"

"C'est un ennui de 3 heures !"

"C'est magnifique, je n'ai pas vu le temps passé !"

Ecolo tendance, on dit que Cameron surfe aussi sur la vague.

Pour ma part : j'ai passé mon temps à m'émerveiller avec mes lunettes Real D sur le pif à admirer des drôles de personnes géantes en bleues tentant de découvrir et d'assimiler les us et coutumes d'une civilisation inconnue et étrangère avant d'être familière. James Cameron est l'un des rares réalisateurs qui peut se permettre de présenter des films de longue durée car tout s'enchaîne bien et avec une grande fluidité.

Ensuite gros bémol, le scénario est connu depuis longtemps et lors de mes études en communication, j'ai étudié Carnets de voyages de Walter Salles. Le récit d'un héros qui traverse des épreuves jusqu'à un point de non retour. Il ne sera jamais comme avant, c'est Jack Sully. (dans Titanic c'était déjà un dénommé Jack).

La planète des singes c'est un peu ça aussi ....

Le décor, désormais c'est facile avec l'écran vert et cela coûte moins cher que si c'était construit. C'est l'ordinateur avec le technicien qui le font.

Enfin la 3D, des parcs comme le futuroscope exploite le procédé depuis plus de dix ans...

Durée du film : 2 H 41
Sortie au cinéma : 16 décembre 2009



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